Trouble soirée

Suite du post d'hier:
donc oui finalement j'aborderais cette question: mais qui est l'étudiant en dehors de son travail.
Et bien n'en déplaise aux esprits facheux qui voudraient mettre tout un chacun dans sa petite case, l'étudiant chercheur est un homme ou une femme comme les autres.
Pour ma part, je suis plutôt adepte de certaines soirée au son un petit peu agressif pour certains, bizarre pour d'autres et totalement trippant pour les adeptes: la techno et son avatar le plus underground la hardtech.
Cette soirée fut mémorable, un son irréprochable, une ambiance fort chaleureuse (pour ceux qui n'ont pas peur des jeunes sous influence de psychtropes), en bref une immense soirée.

L'étudiant chercheur a aussi des amis qui ne sont pas que des congénères mais aussi des jeunes diplomés en design, des instituteurs en devenir, des futurs grands commerciaux, des actuels prof (toute discipline confondue). D'un rang social proche certe mais il n'est pas forcément évident de traverser, dans cette société, les différentes couches sociales.

Evidemment personne n'échappe aux clichés, cette soirée fut d'ailleurs l'exemple de rencontrer plien de petits pois, tous identiques, kaki, baggi, piercing, dreadlocks. Et évidemment que moi même je suis en plein dans le cliché du jeune...

Tordre le cou aux idées reçues

Et à ceux qui auraient des idées reçues: l'étudiant chercheur est avant tout un jeune, il fait la fête, s'amuse comme tout jeune de son âge, n'est pas toujours présentable...
A bon entendeur mesdames et messieurs les étroits d'esprits.

Un homme qui a eu un dur week end de teuf et qui en parlera peut être demain.

L'étudiant 2

Aujourd'hui, l'étudiant de l'étudiant.
Pour en arriver à ce qu'il est actuellement l'étudiant chercheur à du passer par le stade de futur étudiant chercheur (correspondant au stade master 2) mais aussi par le stade d'étudiant en recherche de stage (licence 3 et master1).
Pour cela, la jeune fille que vous voyez ci-dessus à du chercher des éventuels chercheur intéressés par son intérêt pour les sciences, en particulier ici la biologie.
Comme moi elle a donc fait un premier stage d'observation (licence) puis un stage TER (Travail d'Etude et de Recherche master1), au nom évidemment un peu pompeux. Ce parcours correspond simplement à d'abord chercher un endroit sympa pour faire un stage puis à y apprendre le quotidien des étudiants présents dans ce lieu, s'il a été trouvé.
Tout se joue sur les résultats scolaire, le chercheur sensible, ou l'étudiant chercheur si le chercheur en lui même ne s'occupe pas de ça, saura déméler la vraie potentialité de celle créée artificiellement par le système de notation (qui est forcément injuste).
Faire son chemin dans tout ce cirque est affaire de chance avant tout et de flaire.

Pour notre étudiant chercheur, c'est une masse de travail supplémentaire. Mais c'est aussi une source de perfectionnement. Si l'étudiant est exigeant (pose simplement des questions), l'étudiant chercheur devra faire preuve de précision et de perfection pour y répondre le plus justement possible. Cela permet aussi de prendre un recule objectif par rapport aux questions que son travail de recherche lui pose, enfin... si le stagiaire à la charge de l'étudiant chercheur n'est pas trop boulet.
Et le système de la fac qui n'encourage pas réellement à l'émancipation de l'étudiant produit ainsi chaque année beaucoup de gens fort peu sûr d'eux mêmes...

Humeur et mot du jour:
- le lundi c'est ravioli.

Un petit message du matin

Pour changer, un petit message du matin.
La journée commence toujours avec un petit café, machine of course! Pas terrible évidemment, mais c'est le rituel. Il y a aussi celui de la lecture de mail et de toutes les conneries d'internet.

La journée de l'étudiant chercheur commence comme celle de tout une chacun, bien évidemment.

Mot du jour, signé Balzac:
"J'avais le bonheur triste, c'est dire si j'étais bourgeois"
C'est un truc que j'ai choppé dans un article sur Dupontel, c'est sa citation préférée. Moi elle me fait pas mal de trucs cette phrase:
- l'aisance matérielle ne rend pas heureux.
- et ceux qui n'ont rien, ils doivent d'abord se battre pour leur survie, pas le temps pour ces questions.
C'est ça qui me fait dire que je suis bourgeois moi aussi. L'ambiguité de ce sentiment est difficile à assumer.

Humeur du jour:
ça va être speed...

L'étudiant

Dans le monde du chercheur, la population principale est constituée par les étudiants.
Pour autant, dans ce monde, la définition de l'étudiant n'est pas simple. Celui que l'on dit étudiant travaille en moyenne 45 heures par semaine, le specimen photographié est sur une moyenne de 50, c'est normal,il n'est pas encore payé.
Nous appuyons là sur un point important, l'étudiant est payé, en général de 900 à 1500 euros net (pour les plus riches cela vient d'un partenariat avec le privé, startup et grandes multinationales).
Il est important de noter que ce n'est que lorsqu'il entre en thèse que l'étudiant est rémunéré: il est étudiant-chercheur.
Notre specimen ici représenté en est encore au stade de postulant au poste d'étudiant-chercheur. Autant dire que ce sont ceux qui travaillent le plus, la vrai chaire à canon de la recherche... ils se battent entre eux pour obtenir une bourse et pour cela doivent faire leurs preuves!!

Le jeune étudiant chercheur, comme moi, est quand à lui plus cool sur son emploi du temps, à condition bien sûr d'avoir un chargé de recherche compréhensif. Ce qui nous amène au dernier point. L'étudiant chercheur est sous la coupe de son directeur de thèse.
Et oui, c'est son contrat qui le stipule, nous n'avons à rendre de compte qu'à notre, ou nos de temps en temps, directeur. C'est un système qui évidement a des côtés mais dépend uniquement du directeur de thèse...

Vous voilà mieux renseignés sur le "métier" d'étudiant-chercheur.

Humeur(1) et mot du jour(2):
-1 et 2 après la pluie vient le beau temps, et tout fini par sécher...

Les photos du jour avec autorisation

Aujourd'hui je devais commencer sur mon blog une revue de l'activité de jeune chercheur... le problème est que je ne peux pas publier de photos. :-(

J'ai quand même poster deux photos.

Celle de droite: ou je réfléchis, un chercheur doit toujours réfléchir.

Celle de gauche: après la réflexion, la détente, le chercheur doit se détendre.

Pour cela il invente des jeux, et parmis nous monsieur X (qui pourra aisément être reconnu par ses semblables, les zix), premier importateur de jeux en cet endroit merveilleux.

Le premier d'entre eux est le gorge: il consiste à préparer les gens à une attaque ne visant plus l'entre jambe mais la gorge (en cas d'attaque nculéaire, d'intervention terroriste ou tout simplement de modification génétique). L'assaillant doit donc crier "GORGE" et l'assailli (qui n'est pas forcément une fille*) pret en toute occasion.

*la saillie

Pour ceux qui voudrait de plus amples informations sur ces jeux merveilleux consulter le futur blog de monsieur X, en lien prochainement sur ce blog.

Humeur (1) et mots du jour (2):

1 plutôt ras la chaussette, genre plus envie de se lever ni envie de travailler ni rien.

2 en amitié comme en amour y'a pas que la (bonne) volonté qui compte.

deuxième message posté

Oulà, déjà le deuxième et en 3 jours, ça frise l'exploit, je n'aurait pas pensé faire autant en si peu de temps.

La suite attendra demain!!

premîer message posté

Le temps de se familiariser avec l'univers du blog, des choses qui paraissent si simples et qui finalement prennent du temps, comme poster sa photo... qui ne l'est toujours pas!
Enfin...
La grande question est donc que vais je faire de cet espace d'expression, que vais dire, comment vais je l'orienter pour ne pas perdre un éventuel lecteur, et le premier d'entre eux: moi.

Je vais alors commencer par mon profil (on verra pour la suite au moment opportun):
jeune homme
24 ans (assimilable à 25 tout de même)
issu d'une famille classe moyenne
études: moyen voir moyen+
biologiste: 5 années de fac parcours classique
j'ai décidé de donné à mon cursus un profil plutôt "recherche" après avoir fait des stages en laboratoire public INSERM
Actuellement thésard, neurobiologiste, travaillant à l'interface entre neurosciences/neurobiologie et immunologie.
J'habite un grand appartement dans un centre ville d'une grande ville, avec la personne que j'ose penser aimer.