Nous saurons reconnaitre les notres
L'activité de recherche génère énormément d'images. Utilisées, perdues, oubliées, rangées, elles ne servent qu'un temps court pour être ensuite rangées, en attente d'une utilisation qui ne viendra jamais:
Le chercheur a peur de jeter, il garde au cas où... et on comprend. Des heures passées, pour obtenir les fonds, pour faire les manips, pour analyser les données: le chercheur préfère le risque de l'entassement à celui de refaire (qui de surcroit pourrait ne pas donner des résultats comparables).
Générer ces images demande aussi et avant tout l'intelligence. Pour exemple je prendrais l'image précedente: pour être générer il a fallu la présence d'un maitre de conférence, d'un étudiant chercheur et de moi même (à ce moment encore futur futur étudiant chercheur).
Le comble est qu'elle ne nous a jamais servi à rien (sauf de provoquer l'interrogation souvent amusée de mes congénères lorsqu'ils l'observe sur mon bureau d'ordinateur) : pour être précis on travaillait sur le striatum et ceci est du cortex (les experts auront déjà reconnu, les autres s'en foutent).
Ce que j'ai appris aussi c'est que des résultats, des données, ont toujours plusieurs facettes, qu'il ne faut jamais voir ce que l'on a produit à partir d'un seul point de vue mais sous un angle des plus larges.
Je proposerais donc une utilisation des plus larges de ces images: une banque de données pour une utilisation à la fois scientifiques mais pourquoi pas artistique.
Humeur (1) et mot (2) du jour:
- jeudi férié, je ne travaille pas, enfin
- l'art est un questionnement sur la vie, la science son explication. (inconnu)
Le chercheur a peur de jeter, il garde au cas où... et on comprend. Des heures passées, pour obtenir les fonds, pour faire les manips, pour analyser les données: le chercheur préfère le risque de l'entassement à celui de refaire (qui de surcroit pourrait ne pas donner des résultats comparables).
Générer ces images demande aussi et avant tout l'intelligence. Pour exemple je prendrais l'image précedente: pour être générer il a fallu la présence d'un maitre de conférence, d'un étudiant chercheur et de moi même (à ce moment encore futur futur étudiant chercheur).
Le comble est qu'elle ne nous a jamais servi à rien (sauf de provoquer l'interrogation souvent amusée de mes congénères lorsqu'ils l'observe sur mon bureau d'ordinateur) : pour être précis on travaillait sur le striatum et ceci est du cortex (les experts auront déjà reconnu, les autres s'en foutent).
Ce que j'ai appris aussi c'est que des résultats, des données, ont toujours plusieurs facettes, qu'il ne faut jamais voir ce que l'on a produit à partir d'un seul point de vue mais sous un angle des plus larges.
Je proposerais donc une utilisation des plus larges de ces images: une banque de données pour une utilisation à la fois scientifiques mais pourquoi pas artistique.
Humeur (1) et mot (2) du jour:
- jeudi férié, je ne travaille pas, enfin
- l'art est un questionnement sur la vie, la science son explication. (inconnu)